SAVE THE DATE: Opendata.ch/2016 au 14 juin à Lausanne
La prochaine conférence Opendata.ch/2016 aura lieu le 14 juin 2016 au Casino de Montbenon à Lausanne. Elle proposera aux centaines de participants un programme d’une grande diversité couvrant une large palette de thèmes allant de la politique, de l’économie, des sciences à la culture.
Avez-vous des questions ? Aimeriez-vous vous impliquer dans l’organisation? Contactez-nous sur info@opendata.ch. En attendant vous pouvez consulter nos archives sur YouTube regroupant les contributions des conférences passées Opendata.ch/2014 et Opendata.ch/2015.
Nous avons hacké les élections fédérales. Voici ce que nous avons trouvé…
Les 4 et 5 septembre, les rédactions du «Temps», de la «NZZ», la Radio télévision suisse alémanique (SRF) et Opendata.ch se sont associées dans l’organisation d’un hackathon national sur le thème des élections fédérales. Pendant 48 heures, journalistes, hackers, développeurs et experts en tout genre ont élaboré des outils et des applications en ligne en exploitant les bases de données ouvertes
Le 18 octobre prochain, les Suisses renouvellent le parlement fédéral. Parce qu’il s’agit d’un enjeu électoral majeur dans la vie politique du pays, les rédactions du Temps , de la NZZ , la Radio télévision suisse alémanique (SRF) et Opendata.ch – l’association suisse qui promeut les données ouvertes – se sont associées les 4 et 5 septembre dans l’organisation d’un hackathon national sur le thème des élections fédérales.
«Un hacka quoi?» Un hackathon, soit le néologisme né de la contraction de «hack» et «marathon». Dans les faits, cela se traduit par le travail collaboratif – pendant 48 heures – de développeurs, journalistes, hackers et experts en tout genre. L’enjeu? Elaborer des outils et des applications en ligne en exploitant les bases de données ouvertes.
A Lausanne, les 4 et 5 septembre, ce ne sont pas moins de 40 personnes qui ont investi la rédaction que Le Temps partage avec L’Hebdo. Dispersées dans cinq équipes, elles ont relevé le défi d’apporter un regard nouveau sur la politique suisse et ses enjeux. Revue de détail des prototypes réalisés:
■ Politweets: saurez-vous découvrir quel parti se cache derrière ce tweet?
(Concepteurs: Mounir Krichane, Tybalt Félix, Cédric Foellmi, Solal Pirelli, Antoine Stroh, Duc-Quang Nguyen, Guillaume Legueret, Frédéric Benoît, Angelo Maiorano, Sacha Bron)
C’est quoi? Politweets, c’est un quiz politique basé sur les tweets des candidats romands aux élections fédérales.
Comment ça marche? Au premier tour, le joueur est face à une série de tweets anonymisés. Le but du jeu est de deviner le parti politique de chaque candidat en se basant uniquement sur le contenu textuel de ses tweets. A la fin de la manche, avant la publication de ses résultats, le joueur doit se prononcer sur sa tendance politique. Ce complément d’informations permet au joueur de comparer sa perception avec son affinité politique.
Difficultés: La recherche de citations de qualité à nombre égal par parti, soit 30 chacun. L’équipe a effectué un filtre manuel pour différencier les prises de position des tweets informatifs. Deuxième difficulté, l’inégalité des tweets par parti. Le Parti socialiste par exemple jouit d’une présence sur Twitter qui dépasse largement les autres partis.Donnez votre avis et contribuez au développement de Politweets
■ Le parlement à la loupe. Ce que se disent nos élus
(Contributeurs: Giovanni Colavizza, Pierre-Alexandre Fonta, Yann Heurtaux, Fabrice Hong, Jérémie Knüsel, Sylvain Moeshing, Nicolas Ray, Yannick Rochat, Douglas Watson, Jan Iwaszkiewicz)
C’est quoi? L’application liste, structure, organise en thèmes et visualise toutes les interventions au parlement.
Comment ça marche? L’équipe a collecté toutes les données publiées sur le site du parlement: la biographie des conseillers nationaux, les sujets discutés et les minutes. Ces données ont ensuite été structurées par session parlementaire, par intervention (rang/ordre), par auteur et par sujet. Grâce à cette base de données inédites, l’équipe est parvenue à élaborer un moteur de recherche grâce auquel il est possible de savoir de quoi parlent nos élus, à qui, à quelle fréquence, selon leur canton, leur sexe et leur parti.
Difficulté? Les bases de données existantes sont insuffisantes. L’équipe a donc dû se constituer son propre catalogue pour une analyse pertinente.
Donnez votre avis et contribuez au développement de l’application
■ «InterestFinder», les liens d’intérêts des politiciens
(Contributeurs: Pierre Paugam, Roland Sako, Nicolas Vodoz, Stefano Puddu, Martin, Olivier Leclerc, Hicham Bakir)
C’est quoi? InterestFinder est le prototype d’un moteur de recherche pour découvrir l’ensemble des liens d’intérêts d’un politicien.
Comment ça marche? Le visiteur tape le nom d’un candidat et découvre l’ensemble des informations le concernant, dont ses liens d’intérêts.
Difficultés? L’équipe a utilisé entre autres les données du Registre du commerce agrégées sur le site Monetas.ch. Celui-ci mentionne le code NOGA, soit les chiffres qui classifient une entreprise. Les deux premiers chiffres indiquent la sphère d’activité d’une société. Première difficulté: il existe plusieurs codes NOGA pour une entreprise. La seconde: les nombreux homonymes aux candidats dans le Registre du commerce.
Donnez votre avis et contribuez au développement de l’application
■ «Political Sentiment Gauge»: mesurez votre sensibilité politique
(Contributeurs: Jean-Henri Morin, Fabrice Dettwiler, Henri La, Frédéric Jacobs, Jörn Erbguth)
C’est quoi? Il s’agit d’une application iOS qui permet au citoyen d’exprimer sa sensibilité politique sur des thèmes et des questions donnés. Les sujets sont crowdsourcés parmi les participants, mais aussi selon des hashtags pertinents de Twitter.
Comment ça marche? L’application soumet une question au visiteur. Celui-ci doit donner son sentiment en cliquant sur le vu vert (d’accord), la croix rouge (pas d’accord) ou le point d’interrogation bleu (pas d’avis). Les réponses permettent de générer des statistiques pour connaître le sentiment des citoyens par rapport à telle ou telle citation.
Donnez votre avis et contribuez au projet
■ «25prozent.ch» Et si les étrangers de Suisse votaient
(Contributeur: Simon Perdrisat)
C’est quoi? C’est un site de vote électronique destiné aux 25% d’étrangers vivant en Suisse. Et donc à leur permettre de s’exprimer sur les enjeux électoraux. L’application ambitionne de dessiner le visage de la Suisse si les étrangers votaient.
Comment ça marche? Chaque citoyen étranger se logue sur le site 25prozent.ch. La vérification se fait par SMS. Il choisit ensuite ses candidats et ses listes.
Donnez votre avis et contribuez au projet
make.opendata.ch Election Hackdays in Zurich & Lausanne
We will put politics and election data at the centre of our next make.opendata.ch Hackdays:
On September 4 and 5, 2015, designers, programmers, journalists, specialists and citizens of all backgrounds will be working with open data on the subject of politics and elections.
The Election Hackdays will be held at two venues in parallel: The offices of Neue Züricher Zeitung (NZZ) in Zurich and Le Temps in Lausanne.
Participation is free of charge and you can already register on Eventbrite:
– Get your ticket for Zurich
– Get your ticket for Lausanne
Find more information about the Hackdays on our Wiki on make.opendata.ch.
Opendata.ch/2015: MERCI
Nous tenons à remercier tous nos sponsors, sans vous la conférence Opendata.ch/2015 n’aurait pas été possible! En outre, nous remercions tous nos orateurs, nos animateurs d’ateliers et nos participants. Nous sommes impressionnés par votre enthousiasme.
Si vous souhaitez visionner le contenu de la conférence une nouvelle fois, vous trouverez les vidéos ainsi que les présentations de la conférence en ligne:
– Vidéos: Opendata.ch/2015 sur Youtube
– Présentations
– Tweets sur Storify
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Opendata.ch/2015: Voeu Pieux ou Impératif d’Etat?
Comme toutes les années se tiendra à Berne la conférence Opendata.ch/2015. Inaugurée par la conseillère d’Etat bernoise Beatrice Simon, plusieurs orateurs de renom international seront au rendez-vous: Pavel Richter, CEO de l’Open Knowledge International ainsi que Ton Zijlstra, expert Open Data à la Banque Mondiale. Au centre des discussions cette année une question majeure: en terme d’ouverture des données publiques et de transparence où se situe aujourd’hui la Suisse? N’est-ce pour l’instant qu’un voeu pieux ou au contraire un véritable impératif d’état?
Même si, sur la scène Internationale, la Suisse n’est pas encore un modèle du genre s’agissant de l’ouverture des données publiques, elle est un élève que apprend vite. En effet sous l’impulsion de l’association Opendata.ch qui depuis 5 années multiplie les ateliers make.opendata.ch et les actions au près des parlementaires fédéraux, le mouvement Opendata ne cesse de prendre de l’ampleur. Afin d’appréender le chemin parcouru, l’association Opendata.ch organise chaque année une conférence nationale. Pour sa 5ième édition c’est à l’université de Berne, avec le soutien du groupe de recherche pour un Développement Digital Durable, que sont conviés tous les acteurs majeurs du mouvement d’ouverture des données publiques en Suisse. Au travers de présentations, d’ateliers pratiques et de tables rondes, les participants tenteront de faire l’état des lieux de la transparence en Suisse.
Avec la présence Pavel Richter, CEO de Open Knowledge, ainsi que Ton Zijlstra, Open Data expert à la Banque Mondiale, c’est un panel d’intervenants d’envergure internationale qui se penchera sur le cas Suisse. Avec son intervention intitulée “Open Data und das Prinzip Hoffnung”, Andreas Kellerhals, directeur des Archives Fédérales et commanditaire du projet OGD Suisse, nous rappellera que l’espoir seul ne suffit pas à faire avancer l’ouverture des données publiques. Plusieurs ateliers parallèles auront également lieu l’après-midi et traiteront de sujets tel que “Open Land Grabbing Data”, “Open Data Journalism” ou “Infrastructure nationale de gestion des données”. Pour terminer, le professeur Isabelle Hänner de l’Universtié de Berne présentera le thème : “Données et cadre législatif – ou allons nous” suivi d’une table ronde auquel participera le préposé fédéral à la protection des données Hanspeter Thür.
L’entrée est libre pour les étudiants. Pour toute autres personnes le prix d’entrée est de 150.- pour un billet simple ou de 200.- pour un billet d’entrée combiné une cotisation annuelle à l’association Opendata.ch.
Pour des informations détaillées sur le programme:
Billets pour la conférence:
Disponible sur Eventbrite.
Sponsors:
La conférence annuelle Opendata.ch/2015 est sponsorisée entre autre par:
- /ch/open
- Hasler Stiftung
- Liip
- Begasoft
- ESRI Suisse
- OGD Schweiz / Schweizerisches Bundesarchiv
- Schweizer Informatik Gesellschaft SI
- Open Data Zurich (Statistik Stadt Zurich)
Communiqué de Presse:
Disponible ici en téléchargement.
Opendata.ch/2015
Le 1er juillet 2015, Opendata.ch tient sa conférence annuelle à l’Université de Berne: Opendata.ch/2015. Au menu: des orateurs de renom, des ateliers percutants et des centaines de participants.
Vous pouvez vous enregistrer pour la conférence sur Eventbrite.
make.opendata.ch Research Hackdays
Opendata.ch invite tous les chercheurs/euses, designers, programmateurs/trices, journalistes et autres créatifs/ves ouvert-e-s et partant-e-s pour de nouvelles expériences à participer aux make.opendata.ch Research Hackdays à Zurich et Lausanne le 5 et 6 juin 2015. Au centre de cet événement de deux jours seront les données de recherche en libre accès qui proviennent de divers domaines scientifiques ainsi que la grande question : comment l’immense potentiel d’Open Data peut également être mis en œuvre dans la recherche?
Dans le cadre du projet Open Research Data Suisse (ORD@CH) du programme CUS P-2 de la Conférence des Recteurs des Universités Suisses, la première plateforme de publication pour l’accès libre aux données de recherche en Suisse est en train d’être développée sous le nom d’openresearchdata.ch. Les Hackdays offriront la possibilité de vous familiariser avec les détails et les fonctionnalités de cette plateforme. En plus, les institutions qui participent au projet (FORS, Digital Humanities Lab der Universität Basel, ETH SIS/ Swiss Institute of Bioinformatics) et d’autres participants actifs dans la recherche mettront à libre disposition des données intéressantes de leurs domaines scientifiques respectifs afin que vous puissiez en faire usage de manière ludique, créative ou scientifique.
Les équipes de openresearchdata.ch et de Opendata.ch vous prions donc de réserver la date et le lieu suivant et se réjouissent de votre participation:
- Date: 5 et 6 juin
- Lieu: Lausanne (FORS) et Zurich (ETH Zentrum) (parallèle)
- Inscription gratuitement via Eventbrite
- Plus d’informations: make.opendata.ch (wiki) & openresearchdata.ch (projet ORD@CH)
Données culturelles ouvertes et médiation technologique pour un accès ludique au patrimoine en ligne
Rassemblant une centaine de participants les 27-28 février derniers, le 1er Hackathon culturel suisse aura été un indéniable succès. Créer ensemble: c’était le but des artistes, chercheurs en Digital Humanities, programmeurs, wikipédiens, archivistes et bibliothécaires qui se sont retrouvés à la Bibliothèque nationale à Berne sous l’égide du groupe de travail OpenGLAM.ch.
De la diversité de ces points de vues sont nés une vingtaine de projets ou d’applications. Chacun d’entre eux a donné vie – de manière plus ou moins aboutie – à un regard nouveau sur des jeux de données mis à disposition par 20 institutions suisses du patrimoine. Jugez plutôt au vu de ces quelques exemples:
Le projet Diplomatic Documents and Swiss Newspapers in 1914 propose une visualisation géographique du croisement inédit entre la base de données DODIS et les Archives historiques du Journal Le Temps. Il est le fruit d’une collaboration entre programmeurs, digital humanists et archivistes.
Les vagabonds photographiés pour la police par le lithographe Carl Durheim (1810-1890) auront inspiré plusieurs réalisations. Parmi lesquels le projet Picture this qui a construit un cadre d’exposition qui interagit avec l’observateur. L’objet intelligent sur lequel s’affiche l’un de ces apatrides réagit progressivement à l’intérêt d’un visiteur qui le regarde. Ainsi, si l’on fixe la photographie assez longtemps de nouvelles informations, comme le nom de la personne représentée et son lieu de naissance, apparaissent. Finalement, c’est le visage de l’observateur qui remplace celui du heimatlos dans l’image. Une manière de symboliser l’empathie pour ces personnes ?
Autre point de vue, le projet Schweizer Kleinmeister: An Unexpected Journey qui permet de se déplacer dans un volume 3D rempli des tableaux de la précieuse collection Gugelman mise à disposition par la Bibliothèque nationale suisse. Ceux-ci sont organisés dans l’espace en fonction de leurs spécificités (sujets représentés, techniques, auteurs). Une vidéo de démonstration est disponible en ligne.
Les données culturelles suisses dans Wikidata, la base de données sémantique de Wikipedia, auront également été à l’honneur. Elles auront fait l’objet d’une campagne de vérifications et de corrections à propos des monuments nationaux. Des photographies historiques de la ville de Zürich auront nouvellement été mises à disposition dans Wikimedia Commons. Ce sont des informations de ce type qui fournissent l’inspiration à une histoire sans fin créée de toutes pièces en suivant le fil d’Ariane des données liées de Wikidata.
Il est impossible de mentionner tous les projets réalisés pendant ces 24 heures de travaux intensifs. Heureusement les groupes ont consacré une partie de leur temps à documenter leurs réalisations. Pour les découvrir dans leur ensemble, consultez la liste complète des projets du 1er Swiss Open Cultural Hackathon.
La collaboration, l’échange de connaissances et la rencontre auront été au cœur de ces deux journées. Beaucoup de participants dont c’était la première expérience ont découvert l’esprit sympathique et décontracté d’un Hackathon. Au final, cela aura été un moment important qui encourage à approfondir la collaboration entre milieux patrimoniaux suisses, promoteurs des données ouvertes et médiateurs technologiques. De bons augures pour le public qui est demandeur d’interfaces ludiques pour accéder à ces trésors culturels.
Pour plus d’informations, vous pouvez consulter le wiki du Hackathon. Le comité d’organisation reste à votre disposition à l’adresse email: hackathon2015@openglam.ch.
#FlashHacks: #MaptheBanks à Zurich (03.02.2015)
OpenCorporates, Open Data Zürich and Opendata.ch are happy to invite you to the first #FlashHacks event in Zurich on 3rd February at Liip.ch. For those of you who don’t know what a #FlashHack is – they are like Flash Mobs but with coders who can write scrapers and of course exchange the dancing for coding. Run as a mini-hack, #FlashHacks aim to find, scrape and write stories on datasets related to companies. Each #FlashHacks is run on a theme and this one will be on #MaptheBanks – a campaign to map the global financial industry. The financial crisis cost the world more than 10 trillion dollars. Before we can disrupt the industry, we need to map it. The financial crisis revealed the damage done by our lack of understanding of the influence and size of banks and financial companies. We are taking up the challenge of collecting every banking and financial licence in the world so we can work towards a better banking system, that works for the good of society.
So come along to Liip AG in Zurich, on 3rd February anytime from 4pm to 10pm. Drop in with your laptop, charger and enthusiasm to join us for a day of liberating datasets from the clutches of closed data. If you can code and have never written a bot – this is an excellent opportunity to learn! And If you can’t code but would still like to participate – there is plenty to do including writing stories on the data that has been liberated and visualising it. If you’re not really sure about any of this but would like to come along to see what it’s all about – feel free to join us!
To join the event, please get your ticket for free via eventbrite.
Premier Hackathon Culturel en Suisse
Les bibliothèques, les archives et les musées numérisent le patrimoine culturel dont ils ont la charge et font des efforts croissants pour les mettre à disposition en ligne. Il en va de même pour les données culturelles que ces institutions collectent dans le cadre de leurs missions (par ex. géo-données ou métadonnées bibliographiques).
Ces données – même si elles sont encore peu nombreuses – représentent déjà une source d’innovation et un potentiel de création pratiquement inépuisable.
Que créer et comment innover à partir d’éléments digitaux du patrimoine culturel librement ré-utilisables ? Le groupe de travail OpenGLAM, soutenu par ses partenaires, t’invite à venir en faire l’expérience les 27 et 28 février 2015 pour le premier Hackathon culturel suisse à Berne dans les locaux de la Bibliothèque nationale.
Viens faire tempêter ta créativité et ton savoir-faire au contact du patrimoine culturel. L’occasion de se laisser interpeller par les idées des autres participants, qu’ils soient développeurs, chercheurs en digital humanities, wikipédiens, conservateurs du patrimoine ou représentants des fournisseurs de données culturelles.
Pour en savoir plus sur cet événement et sur le programme qui t’attend, consulte le wiki du Hackathon. Si tu as des questions, n’hésite pas à contacter le comité d’organisation: hackathon2015@openglam.ch.
Tu es intéressé-e et tu veux t’inscrire ? N’attends pas car les places sont limitées. Le formulaire suivant est à ta disposition.
Nous nous réjouissons de t’accueillir pour expérimenter ensemble le potentiel innovatif du patrimoine lorsqu’il est mis librement à disposition.
Le comité d’organisation